12 octobre 2007


« Dans toute la mesure de mes forces et de mes connaissances, je conseillerai aux malades le régime de vie capable de les soulager et j'écarterai d'eux tout ce qui peut leur être contraire ou nuisible ». Le serment d’Hippocrate, prêté autrefois par les médecins, conserve dans son esprit, toute sa pertinence pour de nombreuses autres professions médicales et paramédicales, au premier rang desquelles le métier d’infirmier. Car c’est bien de métier qu’il faut parler. Être infirmier(e), ce n’est pas seulement exercer une compétence, mais aussi embrasser une vocation. Dur, technique, exigeant, le métier l’est assurément. Pourtant, il continue à susciter toujours autant d’enthousiasme. Et les raisons ne manquent pas !

Une profession dure mais plébiscitée

Aujourd’hui, un peu moins de 450 000 infirmiers et infirmières – surtout infirmières ! Elles représentent plus de 85 % de l’ensemble des infirmiers – exercent en France. Les facettes de la pratique des soins infirmiers sont certes diverses : d’abord les activités à l’intérieur de l’hôpital (chirurgie, urgences) mais aussi les consultations dans les dispensaires, ainsi que dans le cadre de la santé scolaire ou de l’entreprise ; ensuite au terme de quelques années d’exercice, il est possible de choisir un statut d’infirmière libérale à moins qu’entretemps, les sirènes de l’action humanitaire n’aient eu raison de l’envie d’aventure au service des autres, aux confins d’espaces déshérités...Quel que soit le lieu et le statut, un point commun unit les membres de cette profession : le souci de soigner autrui avec un haut degré de compétence. On comprend que chaque année, près de 200 000 candidats en moyenne se présentent pour entrer dans l’un des Instituts de formation en soins infirmiers.

Cet ouvrage Tout-en-un prépare à l’ensemble des épreuves des concours d’entrée aux IFSI.

Sont étudiées successivement les méthodes générales à appliquer, des rappels essentiels en langue française, les thèmes de culture générale à maîtriser, les méthodes de résolution des tests psychotechniques et les conseils relatifs à l’oral. Des exercices d’entraînement corrigés pour chaque type d’épreuve complètent l’assimilation. Des annales corrigées récentes confirment le candidat dans son acquisition des réflexes.