
L'ouvrage est résolument engagé mais apporte une contribution intellectuelle au débat sur ce sujet. Anne Schiffrin ne critique pas la mondialisation, un phénomène inéluctable mais son dévoiement, ses excès la mise en concurrence des salariés du monde entier, la course au rendement.
Un ouvrage à lire, et à compléter par celui de Joseph Stiglitz (voir infra)